Jérôme GUYET – Bassin Wine Club : la passion du terroir et de la convivialité
Quand il se décrit, Jérôme choisit trois mots qui parlent d’eux-mêmes : épicurien, passionné et fédérateur, le tout accompagné d’un émoji 🥳. Et il n’en faut pas plus pour comprendre son parcours et l’énergie qu’il met dans chacun de ses projets.
De l’animation à l’entrepreneuriat du goût
Enfant hyperactif, jeune adulte animateur en village vacances, Jérôme déborde très tôt de projets. Tout s’accélère lorsqu’il travaille pour son mentor, à la tête d’une entreprise d’animation événementielle à Bordeaux, tout en aidant son oncle viticulteur dans le Blayais. Sa rencontre avec son épouse, alors gérante d’un restaurant de plage à Nice, vient parfaire cette alchimie.
« Par je ne sais quelle alchimie de toutes ces rencontres, j’ai découvert que je devais entreprendre pour être heureux. »
Depuis, il trace son chemin : de la restauration à la création d’une cave épicerie fine sur le Bassin d’Arcachon, en passant par l’organisation d’un salon de la gastronomie autour du terroir, de la transmission et des valeurs du Sud-Ouest.
Aujourd’hui, le vin, la gastronomie et le Bassin d’Arcachon sont au cœur de son activité avec le Bassin Wine Club, où il partage son amour du terroir avec ses clients à travers « l’art de la dégustation, un plaisir sur mesure ».

La découverte du DEBA : un conseil avisé
C’est grâce à Olivier Boulbès, son comptable devenu ami, que Jérôme découvre le DEBA. En voyant Jérôme ouvrir sa cave sans avoir encore toutes les clés en main, Olivier lui conseille de « réseauter » pour développer son activité.
« Merci à lui ! Et merci au DEBA. »
Des Carrefours du DEBA aux retrouvailles
Un souvenir fort du DEBA reste son premier Carrefour en 2010, au Palais des Congrès, où il participe comme bénévole :
« Tout jeune entrepreneur, quelle fierté de faire un événement avec une bonne bande de créateurs d’entreprise dans l’esprit ‘Yes We Can!’ sur le Bassin. »
Après quelques années d’absence, il revient en 2024 pour retrouver un club « qui n’a cessé de progresser, de défendre les hommes et les valeurs du territoire, tout en gardant sa positive attitude. »`
Des souvenirs à foison et des clins d’œil d’amitié
Quand on lui demande son meilleur souvenir au DEBA, Jérôme préfère miser sur le présent et l’avenir, tout en glissant un clin d’œil amical à « Cathy du DEBA », pour sa bienveillance sans faille depuis ses débuts dans le club.
Un super-pouvoir pour aller plus loin
Si le DEBA était un super-héros, Jérôme aimerait qu’il lui permette de se dédoubler et de bénéficier de journées de 48 heures, tant il a de projets en tête.
Et il ajoute avec justesse :
« Souvent, pour un petit entrepreneur, le plus important, c’est le ‘Faire savoir’ : se faire connaître et pouvoir diffuser son offre au plus grand nombre. »
